ZAL SISSOKHO EN ACCOUSTIQUE
Sat, Apr 06
|Montréal
Zal Sissokho, chanteur et joueur de kora sénégalais, fusionne les sonorités fluides du flamenco avec les traditions orales d'Afrique de l'Ouest. Son album "Kora Flamenca" témoigne de cette rencontre audacieuse, où la voix de Sissokho s'harmonise avec les improvisations du flamenco.
S'Y RENDRE
Apr 06, 2024, 9:00 p.m. – 11:00 p.m.
Montréal, 4372 Boul. Saint-Laurent, Montréal, QC H2W 1Z5, Canada
EN SAVOIR PLUS
Chanteur et auteur-compositeur, Zal Sissokho est aussi un grand joueur de kora. Originaire du Sénégal, il conjugue à merveille son ouverture sur le monde et sa volonté de préserver sa culture et les traditions orales des peuples d’Afrique de l’Ouest. Lui qui chante en malinké et en wolof, se nourrit des rencontres qui jalonnent son parcours, grâce auxquelles il continue d’apprendre et de partager.
Les improvisations propres au flamenco jouent avec les sonorités fluides et cristallines de la kora. Avec ce projet, dont vient d’être tiré l’album Kora Flamenca, Zal Sissokho, le griot montréalais virtuose du majestueux instrument à 21 cordes, surprend. « Même si les respirations des deux musiques sont différentes, l’échange coule de source. La kora ne court jamais derrière les rythmes syncopés, parfois frénétiques, du flamenco et la voix de Zal Sissokho demeure aussi cool et chaloupée que s’il chantait du blues mandingue. D’une grande beauté. » (La Presse, 2020).
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Singer-songwriter Zal Sissokho, hailing from Senegal, seamlessly combines his global openness with a dedication to preserving the oral traditions of West African peoples. Singing in Malinke and Wolof, he thrives on encounters that shape his journey, perpetually learning and sharing. Flamenco's improvisations intertwine with the fluid, crystalline tones of the kora in his latest project, culminating in the album "Kora Flamenca." Zal Sissokho, the virtuoso Montreal griot of the majestic 21-stringed instrument, surprises with a blend where "the exchange flows effortlessly." His voice remains as cool and rhythmically swaying as if he were singing Mandingue blues, resulting in a captivating beauty (La Presse, 2020).